Bien que les violences physiques demeurent heureusement très rares, incivilités (47,5 %) et violences verbales (38,6 %) sont pour vous en nette recrudescence, principalement lors d’un refus de délivrance pour défaut de prescription, ordonnance non conforme, voire absence conjointe de carte Vitale et de moyens de paiement.
Ruptures… de nerfs
La substitution génère également son lot d’invectives et, sans grande surprise, le contexte général lié aux ruptures de médicaments n’est pas sans créer de vives tensions au comptoir. La majorité d’entre vous relève que de plus en plus de patients entrent dans la pharmacie en étant persuadés que « tout leur est dû » et s’énervent à la moindre contrariété. Triste signe des temps ?