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Dans le collimateur de l'Agence

14 spécialités

L'Agence nationale de sécurité du médicament est en train de réévaluer une quinzaine de médicaments, pas des plus récents. 

C'est le second programme de suivi du rapport bénéfices/risques qu'engage l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) après celui mené entre 2011 et 2015, qui portait alors sur 31 produits. Ce dernier avait mené, par exemple, à l'interdiction de la trimébutine chez l'enfant de moins de 2 ans ou à la restriction de la prescription initiale d'alitrétinoïne aux dermatologues. Selon le dernier rapport d'activité de l'Agence, publié le 8 septembre dernier, le nouveau programme, débuté en 2016, porte sur les spécialités suivantes :

  • Lamaline (paracétamol + poudre d'opium + caféine, Mylan) ;
  • Percutalgine (dexaméthasone + salicylamide + salicylate d'hydroxyéthyle, Besins) ;
  • Apaisylgel (chlorhydrate d’isothipendyl, Merck Médication familiale) ;
  • Vectarion (almitrine, Servier) ;
  • Phénergan (prométhazine, DB Pharma) ;
  • Theralène (alimémazine, Erempharma) ;
  • Photofrin (porfimère, Pinnacle Biologics) ;
  • Décontractyl (méphénésine, Sanofi) ;
  • Ysomega (triglycérides d'acides oméga-3, Pierre Fabre) ;
  • Ginkor (troxérutine + heptaminol + ginkgo, Tonipharm) ;
  • Tenstaten (ciclétanine, Ipsen Pharma) ;
  • Tilcotil (ténoxicam, Meda Pharma) ;
  • Chloraminophene (chlorambucil, Techni-Pharma) ;
  • les produits à base de niaouli.

Par Laurent Simon

12 Septembre 2017

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